Jean-Philippe MAURER a voté contre le projet de loi sur la gestion de la dette sociale
La prolongation de la Caisse d’Amortissement de la dette sociale – CADES –
jusqu’en 2025 et l’affectation de 80 milliards de dettes supplémentaires liées au
déficit actuel et à venir de la Sécurité sociale représentent une charge écrasante
pour les générations futures.
La nécessité absolue d’équilibrer les comptes sociaux et d’y consacrer des
ressources supplémentaires devra clairement apparaître dans la prochaine loi de
financement de la Sécurité sociale – PLFSS – car les déficits actuels ne peuvent
indéfiniment être reportés sur les générations futures. Je ne peux approuver ce
texte qui met en place une solution bancale. Je vote contre.
Jean-Philippe MAURER
Député du Bas-Rhin
Vice-Président du Conseil Général du Bas-Rhin