Grande consultation des Républicains sur l’immigration
Chers amis,
Lorsque j’ai été élu à la présidence de notre famille politique, je m’étais engagé à vous consulter régulièrement sur les questions qui engagent l’avenir de notre pays.
Aujourd’hui, je propose à tous les adhérents de notre mouvement de prendre part au débat sur notre politique d’immigration en vous prononçant sur 12 questions, qui sont autant d’orientations concrètes pour refonder une politique d’immigration conforme à l’intérêt national.
Refusons la nouvelle pensée unique qui voudrait interdire au peuple de se prononcer. Le débat ne doit pas être confisqué.
La voix de chacun doit compter. C’est la condition essentielle à la construction d’un grand mouvement politique du XXIe siècle. Et c’est dans cet esprit de responsabilité et avec beaucoup de lucidité et de détermination que nous pourrons, ensemble, redonner confiance aux Français.
Nicolas Sarkozy,
Président des Républicains
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Dans la continuité des annonces de Nicolas Sarkozy, nous soumettons aujourd’hui à votre vote les propositions de réformes issues de la réunion de travail sur la politique d’immigration, qui a rassemblé experts et élus de notre Mouvement.
La voix de chaque adhérent des Républicains doit compter !
Le scrutin est accessible sur https://vote.directcitoyen.fr/ et sera ouvert jusqu’au vendredi 18 septembre à 18h.
L’accès au vote nécessite trois identifiants : votre nom, votre prénom et votre numéro d’adhérent.
Nicolas Sarkozy présentera vos réponses aux instances du mouvement mercredi 22 septembre.
Avant de voter, vous pouvez lire le document de travail qui présente les orientations que nous vous soumettons : cliquez ici pour lire le document
J’approuve l’ensemble des propositions relatives à la politique d’immigration.
Monique GUILHAUMON
J’approuve les propositions concernant la politique d’
immigration.Je considère que se n’est plus de l’immigration mais une invasion déguisée musulmane qui
petit à petit nous imposent leur religion et leurs lois.Pourquoi ils ne restent pas dans leurs pays pour le défendre si non pour les avantages financiers de l’Europe.