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Claude Guéant, le discours de Brumath – Fête champêtre de l’UMP 67

Mes chers amis,

Merci. Merci de m’accueillir aujourd’hui dans votre beau département du Bas-Rhin et cette magnifique région d’Alsace, pour ce qui est presque une « première » pour moi.

J’ai fait dans ma vie beaucoup de réunions, et même quelques réunions de militants, mais des petites. C’est ici, à Brumath, avec vous, que j’ai, pour la première fois, l’occasion de m’exprimer devant une aussi vaste assemblée de militants ; de militants, c’est-à-dire d’hommes et de femmes qui ont décidé de s’engager sans compter, pour leurs idées, pour notre famille politique, et surtout pour notre pays, la France !

Car c’est bien de cela dont je veux vous parler ce matin : de la France et des Français !

Cette France, vous, habitants du Bas-Rhin, savez mieux que quiconque ce qu’elle représente ; les sacrifices que nos parents et les parents de nos parents ont fait pour elle.

Je suis ici, aux portes de Strasbourg, et je me dis qu’il n’y a pas de terre où l’on a autant versé de sang et de larmes pour être et surtout pour rester Français.

Je suis venu rendre hommage, aujourd’hui, à l’Alsace, et à ses militants de l’UMP, qui sont d’abord les militants de la France.

Pour vous livrer le fond de ma pensée, je trouve que dans notre pays l’on ne parle pas suffisamment de la France. Je le regrette. Voyez nos voisins ! Ils n’ont pas les mêmes pudeurs, les mêmes scrupules ! Les Anglais, les Allemands et je ne parle même pas des Américains… ne parlent que de ça : de leur pays, de leur culture, de l’avenir de leur mode de vie.

Eh bien, avec le Président de la République, qui chaque jour nous montre la voie et trace le chemin de l’avenir pour toute la nation, nous voulons que cela change. Nous voulons que l’on parle davantage de la France « dans son ensemble », de la France « toute entière » et pas seulement de telle ou telle catégorie qui revendique, ou qui proteste. Les dénigrements, les protestations nous les laissons à la gauche qui fait cela très bien. Elle découpe les Français en tranches, en catégories électorales : les femmes, les surdiplômés, les moins diplômés, les exclus, les chômeurs, les minorités de toutes sortes…et bien d’autres catégories encore. Toutes ces catégories bien sûr méritent notre attention. Et nous avons le devoir de prendre en compte leurs préoccupations spécifiques.

Mais à les entendre, notre pays ne serait qu’un assemblage de groupes et de communautés, sans identité ni destin commun. Je vais vous le dire nous ne laissons personne au bord du chemin, d’abord parce que c’est l’ensemble du peuple Français dont nous assumons le destin.

Je suis peut-être un peu traditionnel, mais je crois avec conviction qu’une communauté nationale ne peut exister et se projeter dans l’avenir qu’à partir du moment où ce qui nous divise ou nous différencie les uns des autres prend moins d’importance que ce qui nous réunit.

Un pays où les gens n’ont plus rien en commun, où les gens ne partagent plus rien, ne se projettent plus ensemble, un pays où les groupes et les catégories cheminent en parallèle jusqu’à en perdre le sens de l’intérêt général, est un pays qui n’a pas d’avenir. Ce n’est pas notre façon de faire de la politique.

C’est notre honneur que tous les membres de notre famille politique se fassent encore et toujours « une certaine idée de la France ». Beaucoup d’entre eux sont d’ailleurs entrés en politique pour cela. Et de cela, nous pouvons être fiers !

Je dis que la France dont nous voulons, ne se résume pas seulement à l’accumulation de droits économiques et sociaux, de services publics ou d’allocations. Ces droits, ces services publics font aussi partie de notre patrimoine et nous voulons y rester fidèles.

Mais être Français, c’est d’abord partager la même histoire, les mêmes valeurs, le même mode de vie.

N’ayons pas peur de dire que ce que nous voulons, c’est justement pouvoir, demain, transmettre ces valeurs, cette façon d’être et de vivre à nos enfants et à nos petits enfants.

En cela, le vote de 2012 sera un vote essentiel. Le vote de 2012 sera un vote sur les valeurs, un vote de civilisation, parce qu’il engagera notre identité et notre rapport au monde. Il sera le choix de ce que nous voulons que la France soit demain.

Nos valeurs ; les valeurs de la France, il faut que nous en parlions. Ce sont elles qui nous distinguent le plus fondamentalement des autres courants de pensée politiques.

Nous croyons d’abord et avant tout à la liberté de l’homme. A la liberté et donc à la responsabilité. Oui ! Dans notre famille politique, nous reconnaissons aux femmes et aux hommes la responsabilité de leurs actes.

De là découlent bien des conséquences ; des choix politiques clairs, en matière de politique pénale par exemple, ou de politique sociale.

C’est parce que l’on est responsable de ses actes que l’on doit rendre des comptes. Quand on viole les lois de la République, quand on s’affranchit des règles les plus élémentaires de la vie en société, eh bien on doit en assumer toutes les conséquences.

Les socialistes ne sont pas simplement fautifs d’avoir laissé exploser les chiffres de la délinquance pendant qu’ils étaient au pouvoir. Ils sont surtout responsables d’avoir fait prospérer la culture de l’excuse. Ils ont culpabilisé les détenteurs de l’autorité, tous, quels qu’ils soient : de l’instituteur au policier, en passant par les juges. A force de chercher des excuses aux actes les plus condamnables, les moins tolérables, ils ont produit des générations de déboussolés incapables pour certains, de distinguer le bien du mal, convaincus qu’ils sont, à force que les repères disparaissent, que leur responsabilité personnelle disparaît toujours derrière la responsabilité de la société.

Eh bien non ! Nous, nous croyons à la responsabilité individuelle. Ce n’est pas toujours la faute des autres. Nous sommes convaincus que dans une société il y a des choses qui se font et des choses qui ne sont font pas. Nous voulons que les honnêtes gens soient protégés et que la société dise non à ceux qui s’en prennent aux honnêtes gens, sans leur chercher d’excuses.

La détermination du Gouvernement à lutter contre les voyous est sans faille. Nous avons créé les peines planchers pour que les récidivistes d’infractions graves ne puissent pas s’en tirer avec des peines ridicules… Nous avons multiplié les moyens de la Police scientifique (comme le fichier des empreintes génétiques) pour que les auteurs de crimes et de délits puissent être identifiés et déférés à la Justice. Nous avons créé un régime de sûreté pour les grands prédateurs sexuels qui régulièrement plongent la France dans l’horreur et le cauchemar afin qu’ils ne retrouvent pas la liberté de leurs mouvements même lorsqu’ils ont effectué leur peine. A chaque fois les socialistes ont été contre.

Aujourd’hui les socialistes nous promettent de revenir à la police de proximité qui s’est traduite par une augmentation de 17% de la délinquance, pendant qu’ils l’ont mise en oeuvre, et de créer des emplois de policiers, en oubliant qu’avec les 35 heures, ils en ont détruit davantage qu’ils n’en promettent sans même penser à l’ombre d’une compensation.

Nous, nous avons fait reculer la délinquance. Il y a eu l’an dernier 500.000 victimes de moins qu’en 2002. Et la police des patrouilleurs qui se met en place ce week-end c’est tout le contraire de la police de proximité, car c’est une police qui s’assume dans toutes ses fonctions, et notamment dans la fonction de répression qui n’est rien d’autre que la volonté d’interpeller les délinquants pour les mettre à la disposition de la Justice.

Cette culture de l’excuse n’a pas eu des conséquences que dans le champ pénal. Elle a également fait des ravages dans le secteur social. Les socialistes ont posé les fondements d’une civilisation de l’assistanat.

La solidarité est une belle idée qu’ils ont dévoyée. C’est une belle idée et c’est la traduction concrète de la fraternité inscrite dans la devise de notre République. Mais la solidarité, c’est tendre la main à ceux qui sont dans le besoin; c’est aider les personnes qui traversent une mauvaise passe ; pour leur remettre le pied à l’étrier.

Ce n’est pas plonger ceux que la vie a abîmés dans la culture de la pauvreté permanente et de l’irresponsabilité. C’est leur donner à nouveau leur chance.

La gauche nous dit que nous tenons un discours trop dur quand nous exigeons des demandeurs d’emploi qu’ils ne refusent pas plus de trois offres de travail correspondant à leur niveau de formation pour pouvoir continuer à percevoir leurs indemnités.

Je dis que c’est une marque de respect envers ces hommes et ces femmes. C’est aussi une marque de respect pour ceux qui se lèvent tôt qui travaillent dur, qui paient des cotisations et qui ressentent comme une véritable injustice que nous ne demandions pas avec suffisamment d’insistance à ceux que nous aidons de tout faire pour s’en sortir.

Nous vivons tous au sein de la même communauté. Nous devons tous faire, non pas les mêmes efforts, mais des efforts équivalents. Nous devons tous, chacun à notre niveau, prendre à notre compte une part du fardeau.

La solidarité ne peut être acceptée par tous, que si on ne demande pas toujours plus à ceux qui la supportent et toujours moins à ceux qui en bénéficient. Ce n’est stigmatiser personne que de dire cela. C’est du simple bon sens.

La solidarité que nous entendons promouvoir, avec le Président de la République, repose sur une certaine idée de la justice sociale, qui n’a rien à voir avec la politique d’assistanat et d’égalitarisme.

Elle repose au contraire sur la récompense du travail, de l’effort, du mérite.

Et cela n’a rien de contradictoire avec une politique sociale ambitieuse. Mais là où les socialistes veulent – c’est dans leur projet -une société d’égalité – (entre nous je vous demande d’imaginer ce que c’est que de forcer une société à l’égalité, donc au nivellement. On frémit devant les mesures fiscales et le nivellement des revenus que cela implique). Là donc où les socialistes veulent une société d’égalité, nous, nous voulons une société d’égalité des chances, c’est-à-dire donner leur chance à tous, mettre tout le monde en état de réussir

Ne vous laissez surtout pas impressionner par la propagande socialiste : depuis 2007, notre gouvernement a beaucoup fait en matière de justice sociale.

La justice, c’est, grâce à l’exonération de charges sociales sur les heures supplémentaires, d’avoir permis à près de 5,5 millions de salariés de travailler plus pour gagner plus. Deux heures de plus par semaine pour un travailleur payé au SMIC c’est un treizième mois !

La justice, c’est, pendant la crise, d’avoir réduit des 2/3 l’impôt sur le revenu des 6 millions de contribuables les plus modestes.

La justice, c’est d’avoir revalorisé les allocations familiales en fonction de l’inflation, et donc d’avoir permis aux familles de conserver leur pouvoir d’achat.

La justice c’est d’avoir tenu nos engagements de revaloriser de 25% l’allocation adultes handicapés et le minimum vieillesse et cela même dans la crise.

La justice c’est d’avoir instauré le service minimum dans les transports publics pour que les voyageurs ne soient plus pris en otage par une minorité.

La justice c’est d’avoir sauvé notre système de retraites qui était menacé de ne plus pouvoir payer les pensions. C’est d’avoir revalorisé le minimum vieillesse, les pensions de reversion pour les veuves, et les retraités agricoles

La justice c’est d’avoir exonéré 95 % des familles des droits de succession.

La justice c’est la création des internats d’excellence qui permettent à des enfants doués mais dont l’environnement ne permet pas qu’ils puissent donner le meilleur d’eux mêmes de réussir et d’entrer dans les plus prestigieuses de nos grandes écoles.

La justice c’est d’avoir doublé les dotations de péréquation pour les budgets des communes rurales.

La justice c’est de proposer le financement de la dépendance des personnes âgées.

La justice enfin, c’est de maîtriser les finances publiques pour que nous ne laissions pas à nos enfants le fardeau de payer à notre place nos dépenses.

Vous le voyez, nous n’avons aucune leçon à recevoir en matière de justice sociale. Vraiment, je vous le dis, il y a de quoi être fier de notre bilan !

Il y a encore une autre valeur qui marque profondément notre différence dans le débat politique actuel. C’est un sujet sérieux dont on ne parle jamais à haute voix, mais auquel on pense souvent: le sens des valeurs.

Chacun d’entre nous en fait, malheureusement, l’expérience, que ce soit dans sa vie quotidienne, en ouvrant le journal ou en regardant la télévision.

Quand on en parle entre amis, on dit plus simplement que l’on « marche sur la tête ».

On « marche sur la tête », quand on voit des parents qui s’en prennent violemment à un enseignant qui a osé punir leur fils à l’école.

On « marche sur la tête », quand on est accusé de discrimination, pour avoir dit qu’à force d’immigration non maîtrisée il arrive que certains Français ont parfois l’impression de ne plus se sentir chez eux.

Et que dire de ces élus, anciens ministres socialistes, qui n’hésitent pas à demander la dépénalisation du cannabis ! Dans quelle société veulent-ils faire grandir nos enfants ? Dans une société où l’on ne signale même plus que la drogue est un danger pour la santé physique aussi bien que pour la santé mentale ?

Nous ne voulons pas de cette société là.

Nous ne voulons pas de ce relativisme moral, où rien n’est interdit, parce que tout se vaut.

Tous les jours, nous devons nous battre contre ce nivellement des valeurs. Je le fais du mieux que je peux, à la place qui est la mienne, en tant que ministre de l’Intérieur en charge de l’immigration.

Pour les belles âmes socialistes, c’est le sujet tabou par excellence. Comme c’est tabou, on laisse faire et on laisse s’installer les communautarismes. Pour nous, que cela soit clair, il ne s’agit de montrer personne du doigt. Il s’agit juste d’appliquer à tout le monde la loi de la République.

Or, il y a des comportements, qui n’ont pas leur place dans notre pays, non pas parce qu’ils sont étrangers, mais parce que nous ne les jugeons pas conformes à notre vision de l’homme, de la femme et de la société.  Quand un monsieur interdit à sa femme de sortir de la maison, ou de prendre la parole sans son autorisation, quand un autre refuse de serrer la main d’un fonctionnaire qui se trouve être une femme, au motif qu’elle est une femme je dis : nous ne pouvons accepter cela. C’est notre règle commune qui doit être respectée.

Les années 80… ont été les années de la consécration du multiculturalisme.

Pendant toutes ces années, on s’est davantage préoccupé de protéger l’identité des nouveaux arrivants que l’identité du pays d’accueil.

On a demandé aux Français de s’oublier, de se montrer discret. C’était le temps où certains mettaient en accusation « la France moisie ». On ne parlait que de repentance.

La France devait tout tolérer, tout accepter, parce qu’elle se sentait coupable… Coupable de tout ou presque : du sous développement, de la faim dans le monde, de la pauvreté dans le Sud.

Nous n’avions plus le droit de nous montrer un tant soit peu fiers de notre passé, de notre histoire universelle, de notre civilisation.

C’est à cette époque que l’on s’est mis à rejeter la politique et le mot « d’assimilation ». On le jugeait trop dur. On s’est mis à parler de « droit à la différence ».

Ainsi, est-on arrivé à un paradoxe aberrant : alors que la République avait exigé des premières vagues d’immigrants venues d’Italie, de Pologne, d’Espagne ou du Portugal, l’assimilation pure et simple – migrants avec lesquels nous partagions pourtant largement, il faut le dire, une même culture, nous n’avons pas eu les mêmes exigences avec de nouveaux venus dont la culture et les modes vie étaient très différents des nôtres.

Figurez-vous que j’ai reparlé, il y a quelques mois « d’assimilation » lors d’une émission télévisée. A voir les réactions dans les médias, j’ai eu l’impression d’avoir prononcé un gros mot ! Je persiste et je signe ! Je dis q’un étranger qui est admis à vivre en France doit s’intégrer c’est-à-dire appliquer complètement nos lois, s’adapter à notre règle de vie, et parler le Français. Et je dis que lorsqu’il souhaite s’établir durablement dans notre pays, surtout s’il ambitionne d’acquérir la nationalité française, il doit non seulement s’intégrer – mais véritablement s’assimiler. S’assimiler, c’est-à-dire adhérer totalement et sans réserve à nos valeurs, épouser entièrement notre communauté de destin.

Nous ne pouvons avoir dans notre pays une juxtaposition de plusieurs France. Nous voulons une France unie, une France cohérente. Nous voulons que règne une vraie cohésion de notre société.

Cette cohésion n’est pas la négation des différences, elle ne remet pas en cause l’attachement que l’on peut avoir au pays de ses parents ou de ses ancêtres. Elle est respectueuse des choix religieux. Mais elle est une volonté d’unité. Elle est l’affirmation d’une volonté farouche de rester fidèles à nos valeurs et à ce que nous sommes.

C’est dans le même esprit que j’ai annoncé la diminution de l’immigration légale dans notre pays. Là encore, c’est du simple bon sens. On ne peut pas continuer à faire entrer en France, chaque année, l’équivalent d’une ville comme Rennes (200 000 hab), et s’étonner de ce que tous ces nouveaux venus aient du mal à s’intégrer !

Les deux choses sont liées. Il faut que nous ayons la capacité d’intégrer les nouveaux arrivés. C’est la condition de la préservation de rapports apaisés au sein de la communauté nationale et, plus largement, de la préservation d’une bonne cohésion sociale.

Je sais que ce sont là des sujets difficiles. Que celui ou celle qui les aborde risque sans cesse d’être caricaturé, montré du doigt, disqualifié par la « bien-pensance ».

Ne vous laissez pas intimider : résistez ! Ceux qui nous stigmatisent n’ont aucune leçon à nous donner. Rappelez-vous que ce sont souvent les mêmes qui nous accusent aujourd’hui de faire le jeu du populisme et des extrêmes qui, il y a un peu moins de 25 ans, ont fait rentrer 35 députés frontistes à l’Assemblée nationale ! Nous ce que nous voulons c’est tout simplement être à l’écoute du peuple, répondre à ses attentes.

Et puisque je parle du Front national, sachez aussi vous méfier des « marchands de fausses promesses ». De ceux qui promettent aux Français monts et merveilles avec des idées tellement simples qu’elles sont simplistes. Non, sortir de l’Europe ou de l’euro ne mènera nulle part, si ce n’est à la ruine de la France et à l’explosion du chômage ! Le vrai combat, responsable et fructueux est celui de la réforme des institutions européennes. Voyez ce que nous avons fait pour Schengen. Grâce à notre insistance, la libre circulation ne permettra plus demain l’arrivée incontrôlée d’une foule de clandestins. Il ne faut pas détruire le système, et vivre au milieu des ruines, mais prendre son courage à deux mains et le réformer en profondeur, de l’intérieur.

La politique, vous le savez bien, ce n’est pas de la magie.

Vous pouvez faire confiance à la volonté et à l’énergie du Président de la République. Dans tous les coups durs, que nous avons connus ces dernières années – et ils ont été nombreux – il a toujours tenu le cap. Il a toujours su protéger au mieux les intérêts de la France et des Français. Et dans le même temps jamais il n’a sacrifié le futur au présent. Toujours il a préparé l’avenir.

Les temps sont trop incertains, les enjeux trop grands pour laisser notre pays aux mains d’apprentis-sorciers ou de doctrinaires irréalistes. Alors je vous le dis : ayez confiance, et merci de votre engagement. Il ne sera pas déçu.

Je vous remercie.

Claude  GUEANT

Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration

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Vidéo du discours intégral :

http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php/?id-video=000283165_CAPP_lediscoursdeClaudeGuantdevantlumpduBasR_030720111945_Au&ids=000283165_CAPP_lediscoursdeClaudeGuantdevantlumpduBasR_030720111945_Au%3BSTRA_1451584_030720110950_F3&id-categorie

Note : Seul le prononcé fait foi

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Article du Monde :

http://dl.dropbox.com/u/26928140/ArticleLeMondeGueantBrumath03-07-11.pdf

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Article des DNA :

http://dl.dropbox.com/u/26928140/Article%20DNA%20F%C3%AAte%20Champ%C3%AAtre%20UMP%202011.jpeg

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